Organisateur de voyages haut de gamme, Jean-François Rial n’en oublie pas d’être soucieux de l’environnement pour accompagner des projets pour absorber 100% des émissions carbone de ses activités. Ecologiste et voyagiste, Jean-François Rial tente d’apporter à son niveau des solutions positives depuis une quinzaine d’années. Membre d'Agir pour un tourisme responsable (ATR), Jean-François Rial dispose d’une fibre et d’une culture écologique forte. Il s’étonne de l’absurdité, par exemple, de choix réalisés au quotidien dans l'agriculture.

« On ne peut pas faire de bien sans faire de l'argent »

Avec 190 destinations y compris en France, le patron de Voyageurs du monde est un homme de paradoxes. Il ne trouve pas incompatible de « faire du bien sans faire de l’argent » Et de préciser : « 30% de nos profits sont donnés à nos salariés » Pour lui, générer de la bienveillance dans l’entreprise, est également une nécessite. Prônant un minimum d’éthique, il refuse certaines demandes de ses clients.

« Au Poker, il faut trois minutes pour apprendre les règles et une vie pour devenir fort »

Dans cette interview, Jean-François Rial revient sur un événement personnel de sa vie très difficile qui l’a amené à réaliser de belles rencontres pour l’alimenter et l’influencer y compris dans sa démarche professionnelle. Ce qui n’empêche pas notre invité d’être un passionné autant de poker que de jeux de stratégie où il peut allier mathématique, psychologie et concentration : « au Poker, il faut trois minutes pour apprendre les règles et une vie pour devenir fort ».

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