"Belles de nuit" nous plonge en 1946, au moment où les maisons closes sont condamnées à fermer.

Jacotte, Jeanne et Lucienne ont vécu toute l'Occupation sous la protection d'Yvonne, qui a dirigé cette maison close sophistiquée de main de maître, en la préservant de toute violence. Ces femmes sont inquiètes pour leur avenir. Pour le metteur en scène et compositeur Jonathan Kerr, cette histoire nous parle de la violence des hommes à l'égard des hommes et a quelque chose de très actuel. On s'attache à chacun des personnages. A noter que la musique est jouée en live.

"Belles de nuit", c'est jusqu'au 8 juin au Théâtre Trévise dans le 9ème.

Photo Dominque Vallès