Depuis le 30 septembre 2024, le parquet du tribunal correctionnel de Paris se penche sur l'affaire dite des assistants parlementaires du Rassemblement National, un dossier de soupçons d'emplois fictifs visant à détourner l'argent du Parlement européen au bénéfice du parti entre 2004 et 2016, avec un préjudice estimé à 4,5 millions d’euros par le parlement européen.

Et le mercredi 13 novembre, la réquisition du parquet est tombée et le parti frontiste craint le pire pour sa numéro une pour les élections présidentielles de 2027, où elle pourrait ne pas se présenter en cas de confirmation du jugement en 2025.