Cendrine Genty reçoit Léa Vigier dans "Le jour où..." Quand le papa de Léa s'effondre subitement, le monde de Léa se stoppe net. Pour la jeune femme qui vit depuis toujours à 1 000 à l'heure, le choc est immense. Depuis sept ans, Léa enchaîne ses premières années de vie  professionnelle les tripes chevillées au corps. La jeune femme donne tout, quitte à griller très tôt, trop tôt ses réserves physiques et mentales. Et alterne les périodes de très haut, à celles de très, trèèèèèèèès bas. Depuis toujours, sa famille est son socle. Son phare. Sa sécurité. Quand le coeur de son père s'arrête, celui de Léa se fige. Comment continuer ? Comment garder goût à cette vie sans lui ? Comment faire pour ne pas risquer de sombrer ? 

Le jour où... Léa se pose ces questions, ce sont les mots murmurés par sa petite voix intérieure qu'elle va choisir d'écouter. Et de suivre. Léa est depuis toujours remplie de dualité. Et si la jeune femme suit un chemin plutôt consensuel, elle a déjà fait le choix de sortir des sentiers battus. Pour se lancer dans l'inconnu ! Partie vivre une incroyable (et dangereuse!) aventure sur les pistes d'un trésor en pleine jungle, partie marcher par deux fois déjà sur les montagnes népalaises, l'instinct de Léa lui souffle une idée : partir en solo quatre mois dans l'Himalaya ! 

A la clé, une immersion au sein des plus hauts sommets du monde, découpée en deux étape : un trek de deux mois, suivi de deux mois au sein d'un monastère boudhiste.  

Le jour où Léa s'en va, sac sur le dos, en quête d'elle-même, en quête de réponses, la jeune femme embarque dans son bagage un nouveau poids, celui d'une bipolarité apparemment diagnostiquée. Que faire de ce nouvel élément, quand on est en plein deuil et en profonde remise en questions de sa vie toute entière ? 

Dans "Le jour où...", Léa nous partage les réponses trouvées sur les pentes himalayennes, au grès de chacune de ses journées. Et nous embarque à ses côtés dans les coulisses de sa vie, de ses tourments poignants, de ses fantastiques talents, et de sa magnifique humanité. De celle qui peut parfois, souvent, nous laisser à vif, mais qui a le pouvoir, aussi, de rendre les autres et nos choix encore beaux. Encore plus vrais. Encore plus... vivants !