Christine Courtois, vice-présidente de la Fédération de voile en charge du handivoile répond aux questions de Jason Jobert

Le vent comme seule force propulsive, l’activité voile se pratique en loisir ou en compétition sur des étendues maritimes ou des plans d’eau (lacs).

Le type et le niveau de handicap ne sont pas un frein à la pratique de la voile.

La diversité des bateaux et la richesse des adaptations permettent au plus grand nombre d’aborder cette activité. L’embarquement effectué, personnes valides et en situation de handicap physique ou sensoriel deviennent des navigateurs à part entière ...