Zaïa Teil a dû quitter l'école, illettrée, dans les années 70, en raison de sa dyslexie sévère. Diminuée psychologiquement par les conséquences de ce handicap, ce n'est qu'à l'âge de 26 ans qu'elle met un nom sur ses difficultés : la dyslexie. Zaïa est aujourd'hui sophrologue et milite pour que la sophrologie qui l'a beaucoup aidée à gérer la dyslexie soit enseignée dans les écoles.