Le 17 mars dernier,  sur Europe 1, Mélanie Luce (présidente de l'UNEF) déclarait qu'il existait des réunions « non-mixtes », réservées aux personnes victimes de discriminations raciales, au sein de l’organisation étudiante. Suite à cette déclaration, Eric Ciotti (député LR des Alpes-Maritimes) et François Xavier-Bellamy (député au Parlement européen) ont demandé la dissolution de l'UNEF avec pour motif ces réunions organisées en non-mixité. Mais est-ce possible juridiquement ?