À chaque fois c’est la même rengaine. Car après le GPRS ou 2G, la 3G et la 4G voici venir la 5G et tout son lot d’inquiétudes. Depuis que l'Autorité de régulation des télécoms, l’Arcep, a lancé fin décembre la procédure d'attribution des fréquences radio comprises entre 3,4 et 3,8 gigahertz, plusieurs associations sont vent debout contre cette technologie et dénoncent les risques pour la santé et l'environnement.