Deux semaines après l’invasion, la Commission européenne avait alerté sur “les risques liés à la dépendance vis-à-vis du pétrole et du gaz russes”. Elle avait alors annoncé les mesures que l’UE devrait prendre pour y faire face. Et mercredi ces propositions se sont transformées en “plan de bataille” énergétique. Un plan à 300 milliards d’euros.