Jeudi 15 avril, une étude menée auprès d’enfants au Rwanda en Afrique montre pour la première fois la « preuve clinique » qu’il y a un lien entre les mutations d’un gène du parasite qui provoque la maladie du paludisme, que l’on appelle Plasmodium Falciparum, et la résistance du parasite après 3 jours de prise de médicaments adaptés. Selon les chercheurs, l’efficacité des médicaments reste grande mais il faut quand même surveiller le Rwanda et ses pays voisins.